Uzeste musical
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009

Artistes & Associés partenaire du festival d'Uzeste

Chaque année le festival Uzeste musical, festival de jazz et de musiques improvisées invite l'association à réaliser un programme de projections, de rencontres et de débat autour de la question des arts vivants.
Chaque année depuis 1978, pour ce rendez-vous d'août, Bernard Lubat parvient à réunir dans ce village des centaines d'artistes. Un laboratoire de mots et de musique.
S'il existe un festival de jazz où la recherche artistique et la liberté de création restent encore intactes, c'est bien celui d'Uzeste. Au cœur de ce village girondin de 400 âmes, Bernard Lubat, musicien, chantre et poète, poursuit, chaque été, depuis presque trente ans, la plus folle des aventures musicales. Dans des cadres surprenants ou décalés, cet esprit rebelle, ancien collaborateur de Léo Ferré, crée des rencontres explosives entre le gotha du jazz et une pléiade d'écrivains, de poètes et de comédiens, les poussant à se lancer dans les expérimentations les plus avant-gardistes.
Ici, les artistes prennent le temps de défricher ensemble des terrains non balisés. «Ils n'offrent pas de solutions ; ils posent des problèmes, explique Lubat. Ils se questionnent, se perdent, se retrouvent.»

2003 - Le programme A&A, 26e Hestejada de las arts d'Uzeste Musical

Le 21 août
15h00 - Scène de la Collégiale
Participation au débat : "C'est quoi l'art ?" autour du livre "La haine de l'art" de Philippe Dagen.
17h00 - Salle des Fêtes, Projection et débat :
« Je rêve de mots" - vidéo sur le travail de Jenny Holzer, réalisé par A & A : Carine Bobin, Martine Convert, Frédéric Delpech).
Extraits d'Histoires du cinéma de Jean-Luc Godard.
"Now", "LBJ", "76 printemps" - films de Santiago Alvarez.
Le 23 août
17h00 - Salle des Fêtes
Projection et débat : "Mont Valérien, Aux noms des fusillés" de Pascal Convert
avec L'Humanité, Cave canem (anonyme).
22h00 - Scène de la Collégiale
Barricade transartistique (avec le Deliberation Orchestra de la Compagnie Lubat):
"1/0 : Guerre chronique" (Fabien Beziat, Pascal Convert, Yohann Costedoat-Descouzères, Miguel Moro).
Le 24 août
16h00 - Salle des Fêtes
Projection (avec Co-errances): "Le fond de l'air est rouge" de Chris Marker.

Uzeste musical
2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009

Artistes & Associés partenaire du festival d'Uzeste

Chaque année le festival Uzeste musical, festival de jazz et de musiques improvisées invite l'association à réaliser un programme de projections, de rencontres et de débat autour de la question des arts vivants.
Chaque année depuis 1978, pour ce rendez-vous d'août, Bernard Lubat parvient à réunir dans ce village des centaines d'artistes. Un laboratoire de mots et de musique.
S'il existe un festival de jazz où la recherche artistique et la liberté de création restent encore intactes, c'est bien celui d'Uzeste. Au cœur de ce village girondin de 400 âmes, Bernard Lubat, musicien, chantre et poète, poursuit, chaque été, depuis presque trente ans, la plus folle des aventures musicales. Dans des cadres surprenants ou décalés, cet esprit rebelle, ancien collaborateur de Léo Ferré, crée des rencontres explosives entre le gotha du jazz et une pléiade d'écrivains, de poètes et de comédiens, les poussant à se lancer dans les expérimentations les plus avant-gardistes.
Ici, les artistes prennent le temps de défricher ensemble des terrains non balisés. «Ils n'offrent pas de solutions ; ils posent des problèmes, explique Lubat. Ils se questionnent, se perdent, se retrouvent.»

 

Constituer des archives artistiques

Les missions de l'association se concrétisent suivant deux axes: filmer l'art et constituer des archives artistiques.
Ces principes de départ s'intègrent dans deux questions ouvertes, d'abord la question de la transmission sous forme de documents audiovisuels achevés, le travail de l'association peut connaître une diffusion et répondre ainsi à la mission éducative qui le sous-tend, que cette diffusion soit télévisée ou se fasse localement dans le cadre d'une exposition, d'un cycle de projection, d'une manifestation ou bien d'une intervention pédagogique.
Pour ce qui concerne la vocation finale de ces archives, c'est à dire leur consultation, l'association projette, lors de la réalisation du site internet d'en proposer un choix.

Une étude

Par ailleurs suite à une demande de l'association plateau image de la ville de Biarritz, l'association participe en partenariat à l'élaboration d'une étude portant sur la création d'un centre d'archives audiovisuelles sur l'art. Cette consultation vise à la préfiguration d'un centre d'archives audiovisuelles sur l'art qui soit un lieu vivant et un outil de travail pouvant accueillir des chercheurs et des étudiants mais aussi des non spécialistes.

Un dépôt d’archives

Par exemple: des documents sur le travail de Claudio Parmiggiani, séminaire de Georges Didi-Huberman à l'EHESS, documents d'archives du Capc de Bordeaux sur les années 70.

Réalisation de stock shot (sélection de plans sans les monter)

De courtes séquences filmiques soumises au regard d’invités ou d’un public par exemple lors de manifestations comme Images-Visage.

 

buren

Au centre Georges Pompidou

Un film de Frédéric Teissèdre
64 min, 2008

"Le Musée qui n'existait pas", Exposition du 26 juin au 23 septembre 2002.
Commissaires / organisateurs: Bernard Blistène - Alison Gingeras - Laurent Lebon

A l'occasion de son exposition au Centre Pompidou, l'artiste a prévu d'intervenir en trois temps : dans le lieu de l'exposition, dans l'ensemble du bâtiment, dans la ville alentour.
Daniel Buren déplace, depuis maintenant plus de trente-cinq ans, ses désormais célèbres rayures de par le monde, suscitant chaque fois l'événement avec son cortège d'enthousiasmes et de controverses. Né en 1938 à Boulogne-Billancourt, il mène au début de sa carrière de nombreuses expérimentations touchant à la peinture, à la sculpture et au cinéma. Dès les premiers travaux picturaux, il met en avant la neutralisation du contenu illusionniste de la peinture et l'indifférence au sujet narratif qui sont au cœur de sa démarche.

Buren s'associe avec les peintres Olivier Mosset, Michel Parmentier et Niele Toroni pour une série de manifestations collectives qui suscitent les plus vives polémiques. Leur pratique commune se fonde sur la répétition systématique d'un même motif et la volonté de peindre "le dernier tableau". Ce travail en commun prend en fait la forme d'un véritable dispositif critique qui permet à Buren d'examiner les limites non plus seulement physiques de la peinture, mais aussi politiques et culturelles du monde de l'art.

Délaissant le travail de répétition en tant que tel, il commence à explorer les potentialités de ce motif en tant que signe et passe ainsi de l'objet-peinture à ce qu'il appelle un "outil visuel", en faisant également imprimer du papier rayé dès le mois de novembre 1967. Ce glissement du tableau à l'affiche et au papier peint lui permet de décliner sa production : murs, portes, panneaux d'affichage, escaliers, trains, voiliers, drapeaux sur les toits de Paris, gilets pour les gardiens de musée... Il forge alors le concept d'in situ, que bien d'autres reprendront après lui, pour caractériser une pratique intrinsèquement liée aux spécificités topologiques et culturelles de lieux où les œuvres sont présentées.

Une véritable consécration a lieu dans les années quatre-vingts avec " Les deux plateaux", première commande publique pérenne au Palais Royal à Paris (1985-86) et l'obtention du Lion d'or pour le meilleur pavillon à la Biennale de Venise en 1986.


Remerciements à : Daniel Buren, Sophie, Centre Georges Pompidou, Bernard Blistène, Alison Gingeras, Laurent Lebon.
Images : Julien Gourbeix, Beñat Lagoarde, Sara Millot, Catherine Teissèdre, Frédéric Teissèdre.

une-hirondelle

Une histoire des oracles

Un film écrit et réalisé par Manuela Morgaine
94 min, 2006

QU’EST-CE QU’UN ORACLE ?
SOUS TOUTES SES FORMES
SES PRATIQUES
SES VŒUX
SES TRACES
OU SE SITUE L’ORACLE ?
DANS DIFFÉRENTS PAYS DU MONDE OÙ EXISTE ENCORE CE GÉNIE DU LIEU
LE FILM DONNE LA PAROLE ET RAPPORTE LES GESTES DE SES HABITANTS.

Liens
Manuela Morgaine Envers compagnie

partage-exotismeBiennale de Lyon 2000

Une exposition conçue par Jean-Hubert Martin
Un film de Collectif, 36 min, 2001

Jean-Hubert Martin, directeur du musée des arts d'Afrique et d'Océanie, et organisateur de l'exposition "Les magiciens de la terre", a contribué à faire évoluer notre regard sur les arts et les cultures non occidentales.
Aujourd'hui, commissaire invité pour la biennale de Lyon 2000, il tente de confronter les œuvres d'artistes issus de cultures éloignées voire antagonistes afin de restituer l'actuelle richesse d'utilisations de formes, de signes et de poétiques à l'échelle de la planète. Inspiré par des méthodes anthropologiques, il élargir les catégories, à travers des notions universelles qui trouvent dans cette exposition des expressions plastiques par le choix de verbes et d'actions commune: habiter, aimer, mourir, masquer, combattre, incarner, vêtir, transporter, manger, prier ...
Rassembler sans oublier ce qui distingue, le film suit le projet de cette cinquième biennale dont l'enjeu affiché en ce début de troisième millénaire est l'égalité et l'échange des cultures.

Conception : Pascal Convert ; Image: Fabien Béziat, Pascal Convert, Martine Convert, Julien Gourbeix ; montage: Claire Bénétreau, Céline Cloarec, Fabienne Lanusse, Gaelle Liaboeuf, Myriam Milent, Jérémy Vellela.

Liens
Site de la Biennale de Lyon
Entretien avec Jean-Hubert Martin
Entretien avec Jean-Hubert Martin 2
L'Humanité
Africultures
Afrik
Missions-Africaines

michelangelo-pistoletto

Repères biographiques

Michelangelo Pistoletto est né à Biella, capitale des moulins “télédynamiques”, machines de guerre de l’industrie textile du Risorgimento, construits au pied des Alpes, sur les rives du Cervo, à soixante-quinze kilomètres au nord de Turin. Son père, peintre et sculpteur, lui transmet l’amour de l’art. Le grand style byzantin, Piero della Francesca mais aussi Pollock, Fontana, Bacon, Klein, Baj et Burri contribuent à sa formation de peintre.

Il puise également, à rebours de l’art américain d’après-guerre, aux sources de l’histoire de l’art italien et de la culture méditerranéenne, et partage bientôt le goût des sciences humaines. Après des études de graphisme, il réalise ses premières oeuvres, des autoportraits sur fond de monochrome or, argent ou bronze, qu’il expose à Turin en 1961.
Cette même année, il substitue le miroir à la peinture sur toile et superpose au reflet une figure peinte, généralement debout, vue de dos, dans la position du regardeur. Les Quadri Specchianti, les “tableaux-miroirs” sur acier poli qu’il réalise depuis le font connaître du monde entier. Au milieu des années 1960, à l’heure du nouveau réalisme, de l’art minimal et du pop art, il choisit de faire un “pas de côté” et conçoit des Oggetti in Meno, des “objets en moins”, à mi-chemin de la sculpture, de l’installation et de la performance. Parmi eux, le Metrocubo di Infinito, véritable “boîte mentale”, paradigme de l’opera concettuale, composée de six miroirs tournés vers l’intérieur s’entre-reflétant à l’infini, accessible à la seule rêverie, comme la Maison du miroir d’Alice au Pays des merveilles.

En 1967, dans le contexte de l’arte povera - mouvement de retour aux enjeux primordiaux de la création et d’une réappropriation des matériaux et des processus “pauvres” de l’héritage culturel italien -, dont il est, avec Boetti, Zorio, Penone, Mario et Marisa Merz, Paolini, Anselmo, Pascali et Kounellis, l’un des créateurs, il troque son statut de “transmetteur d’images” pour devenir “provocateur de comportements”.
Il vide son atelier et invite des jeunes artistes à élaborer un nouveau projet artistique en relation avec la vie. Le studio cède la place à une sorte d’office des idées, des savoirs et des expériences mises en commun.

Cittadellarte, la fondation qu’il crée au milieu des années 1990 à Biella, après avoir réalisé nombre de manifestations à caractère collectif aux prises avec des contextes locaux, donne une forme nouvelle à son projet d’art. Université des idées, des recherches créatives et des expérimentations artistiques, Cittadellarte est une institution en lutte contre la “société fragmentée”. Ses hôtes de passage se donnent pour ambition de replacer l’artiste au centre de la “fabrique sociale”, de refonder sa responsabilité et de faire de l’art bien plus qu’une question de produits culturels destinés à la galerie et au musée : ce qui donne sens et valeur à nos manières de vivre ensemble.

Liens
Citta dell'arte
Mamac de Nice
Michelangelo Pistoletto & Cittadellarte

pistoletto

Continents de temps
Musée d'art contemporain de Lyon

Un film de Julien Gourbeix et Frédéric Teissèdre
33 min, 2001

Dès 1961, les tableaux-miroirs de Michelangelo Pistoletto portent l’art aux limites de la vie. Précurseur de la famille italienne de l’art pauvre, Pistoletto va développer une œuvre dont la conscience sociale et politique du temps présent, vont remodeler les notions d’actions et installations, à l’image du “signe-art», symbole de la spécularité, signe dont l’artiste réitère la formule au sein d’environnements où le corps en mouvement du spectateur participe à la réalisation du processus créatif. C’est avec élégance et humour, que Pistoletto nous à permis de le suivre dans la «représentation» au public de ses œuvres lors de l’exposition rétrospective «continents de temps» que le Musée d’art contemporain de Lyon lui consacre aujourd’hui.

Les œuvres dans l’ordre d’apparition : Labyrinthe, Vénus aux chiffons, Orchestre de chiffons, Grande sphère de journaux, Sculpture à promener, Objets en moins, Signe art, L’art assume la religion, Les chambres, Lueurs, Tableaux-miroirs.


Images : Frédéric Teissèdre, Julien Gourbeix, Fabien Béziat, Pascal Convert ; mixage : Cédric Poulicard.
Avec le soutien du Pôle Image de Biarritz (Bts audiovisuel René Cassin) et de la délégation aux Arts-plastiques, mission à l'audiovisuel.

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Repères biographiques Michelangelo Pistoletto
Musée d'art contemporain de Lyon

la-pieta-du-kosovoUne sculpture de Pascal Convert
D'après une photographie de Georges Merillon

Un film de Fabien Béziat
50 min, 2002

D'abord une photographie de Georges Mérillon, prise au Kosovo en 1990, et primée d'un World Press. La veillée funèbre d'un jeune albanais par les femmes de sa famille y rencontre les Pietàs occidentales. Et le passage de la légende donnée par le photographe, "Veillée funèbre au Kosovo", à celle de "Pietà du Kosovo" diffusée par les médias et abusive pour un rituel musulman, dit déjà quelles questions esthétiques, culturelles et politiques traversent cette photographie.

Dix ans plus tard, un bas-relief en cire réalisé par Pascal Convert la prend pour origine et la reconstitue. Entre point de vue médiatique et regard artistique, entre présence affirmée des corps et défiguration dynamique, cette sculpture interroge nos images, leur ressemblance problématique et la perception que nous en avons. Elle "tente de redéfinir la notion d'altérité à l'époque contemporaine: une altérité qui ne serait pas une amnésie du réel mais dans le travail de son irréductible étrangeté, (...) cette altérité dont la conscience seule permet la pensée du politique" (P.Convert).

La vidéo qui retrace la réalisation de cette pièce cherche à en déployer les enjeux. Pendant dix mois, Fabien Béziat filme le travail formel des phases les plus classiques de la sculpture en ronde-bosse aux plus complexes, liées à l'utilisation de ce matériau instable qu'est la cire. Il saisit le travail conceptuel de l'artiste dans les propos, les gestes, les regards échangés en particulier avec ses collaborateurs, Eric Saint-Chaffray et Claus Velte. Le modelage de la réflexion, la circulation entre les visages disent le travail de l'altérité, le politique dans le travail, la tension entre forme et informe, la quête de la figure humaine.

La Pietá du Kosovo - Partie 1


La Pietá du Kosovo - Partie 2


La Pietá du Kosovo - Partie 3


La Pietá du Kosovo - English


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Repères biographiques Pascal Convert
Note sur une sculpture de Pascal Convert pour la Biennale de Lyon 2000

pascal-convert

Repères biographiques

Pascal Convert est plasticien (sculpture, installation et vidéo) et auteur de films documentaires. En 1989, il est pensionnaire à la Villa Médicis. La question de la mémoire et de l’oubli est au cœur de son travail. En 1998, Georges Didi-Huberman consacre un livre à son oeuvre « La demeure, la souche », Éditions de Minuit.

En 2002, dans le cadre d’une commande publique, il réalise le Monument à la Mémoire des Otages et Résistants fusillés au Mont Valérien entre 1941 et 1944. Il poursuit ce travail par un film documentaire « Mont Valérien, aux noms des fusillés » (Arte-Histoire).

Son travail sculptural inspiré de trois icônes de presse, la Pietà du Kosovo (Photographie Georges Mérillon), la Madone de Benthala (Photographie Hocine Zaourar), la mort de Mohamed Al Dura à Gaza (AFP/A2 commandé par le Fond National d’Art Contemporain Paris) et par le Musée d’Art Moderne Grand Duc Jean du Luxembourg dirigé par Madame Marie Claude Beaud, a été exposé en France et à l'étranger, en particulier à l'ONU et à Montréal.

Il publie en 2007 une biographie historique (édition Séguier) sur Joseph Epstein (Colonel Gilles), responsable des FTP d'Île de France, fusillé au Mont Valérien en 1944. Dans le cadre de cette recherche, il réalise une quatrième sculpture en cristal titrée Le temps scellé et un documentaire « Joseph Epstein, bon pour la légende » ( Arte).

Par ailleurs, l'année 2008 voit l'aboutissement de la réalisation d'un ensemble de vitraux pour l'Abbatiale de Saint Gildas des Bois. En 2009, son travail artistique est présenté au Grand Palais dans le cadre de la Force de l'Art et à la Galerie Eric Dupont (Paris). Il est lauréat du 1% artistique du nouveau bâtiment des archives Nationales et du 1% artistique de l'institut des Sciences de la Vigne et du Vin à Villenave d’Ornon.

Il prépare pour 2010 un film documentaire (France télévision) et un livre (éd. du seuil) sur la vie de Raymond Aubrac.

Liens
Site de Pascal Convert
Joseph Epstein. Bon pour la légende
Arte - Pascal Convert, portrait
Triptyque - Trois sculptures monumentales en cire
Les lieux de mémoire